Demi finale CAN

ELIMINATION EN 1972 PUIS EN 2022. QUE FAUT IL EN RETENIR ?
On a beau pensé qu’il est difficile pour les pays organisateurs de la CAN d’inscrire leurs noms en or dans le tournoi qu’ils abritent il reste une vérité, certains l’ont fait mais a deux reprise le Cameroun a échoué. Coup du sort ou règle absolue ?
Cyrille Kingue Mbeppe

Les lions indomptables n’ont pas réussi comme certains de leurs prédécesseurs a remporté à domicile le trophée de la CAN. Face a l’Egypte en 2022, exactement comme il y a 50 ans face au Congo en 1972 le Cameroun a été battu en demi-finale. Cette fois à l’épreuve des tirs au buts 1 seul marquer et derrière 3 rater successif les pharaons Egyptiens triomphe sans convaincre. La pression disent les experts est le piège principal des pays organisateur. Le Cameroun y a donc succombé Vincent Aboubakar et ses coéquipiers n’accrocherons pas a Yaoundé la sixième étoile sur leurs maillots vert. Un petit tour dans les anales de la CAF démontre que l’Egypte en 1959,le Nigeria en 1980, l’Egypte encore en 1986, l’Algérie en 1990, l’Afrique du Sud en 1996 et la Tunisie en 2004 ont su géré la pression pour s’impose comme vainqueur finale à domicile

LES SIMILITUDES
En 1972 et 2022 le Cameroun a termine premier de sa poule au premier tour avec 2 victoires et 1 nul.
Le Kenya et le Togo battu en 1972 résultat 2 à 1 puis 2 à 0 enfin un nul 1 but partout contre le Mali.
Le Burkina Faso et l’Ethiopie battu en 2022 2 buts à 1 et 4 buts a 1 puis un nul 1 à 1 contre le Cap vert.
Autre similitude, le pays est éliminé dans son stade flambant neuf de la capitale. En 1972 c’était a Mfandena, en 2022 à Olembe. On y a pourtant mis de grands espoirs. Mais a chaque fois l’on aboutit a une nuit de grande déception.

En 1972 et 2022 le pays se classe troisième a l’issue de la petite finale une rencontre sans intérêt pour le publique, mais o combien éblouissante : 5 buts marquer contre le Zaïre en 1972 et une Remontada courageuse en 2022 face au Burkina Faso. Autre ressemblance et pas de moindre le chiffre ‘2’ a la fin de chacune des années des défaites.

ESPOIR
Il y a 50 ans le pays avait fait une introspection sérieuse qui a produit de bons résultats et fait oublier la débâcle d’un soir à Mfandena. Il a fallu du courage de la détermination, une dose de bonne volonté et un engagement politique. Quand sera-t-il de l’échec de 2022 ?

Cyrille Roger

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